Next step

Depuis plusieurs années, je dis en classe, qu’en 2020 je rejoindrai l’organisation spatiale indienne afin de partir pour Mars en 2025.

Le tourisme spatial, prochain gros marché touristique. Sera-t-il maîtrisé ou créé dans l’urgence ? On le saura rapidement !

Mars c’est loin et un retour sur terre n’est pas garanti. Alors allons-y par étape. En premier lieu un arrêt sur la Lune. Je vais participer sur la face cachée de la Lune à la construction du premier hôtel lunaire dédié en premier lieu aux équipes techniques qui implanteront dans les années à venir les radiotélescopes nécessaires à notre exploration lointaine.

Mais rapidement, de nouveaux marchés devraient émerger : Terriens en quête d’une courte expérience extra-terrestre ou missions à la recherche d’une première étape dans un voyage plus long. Les Chinois ont “aluni” sur cette face il y a peu, les fusées sont aujourd’hui capables de décoller et d’atterrir, les navettes foncionnent, les investissements sont décidés : Tout semble prêt !

Vouloir gérer de l’accueil sur la Lune apporte son lot de contraintes. En premier lieu dans la décision du/des sites d’implantation possibles. La face cachée de la Lune a l’avantage d’être protégée des ondes radio de la Terre, permettant ainsi de ne pas perturber le travail des radiotélescopes; par contre le segment loisirs nécessite une vue de la terre et ne peut se contenter de la face cachée. Ensuite, les installations doivent être protégées de la poussière lunaire et des éruptions solaires. Enfin, il n’y a pas d’eau, pas d’air et l’attraction lunaire est bien plus faible que l’attraction terrestre.

L’expérience devrait être passionnante !

Lever de terre ….